Nous passons Huethuetenango et prenons la direction de Tikal par Coban. Nous suivons la route RN-7W, une route de montagne avec de rudes montées et de sévères descentes. Nous traversons plusieurs grosses agglomérations, notre moyenne est une nouvelle fois très faible. Nous nous arrêtons pour la nuit dans la cours d'une station service à la sortie de Cunen.
Nous avons parcouru km ce jour, km depuis notre retour à Cancun.
Nous quittons le balnéario de La Escondida un peu avant 9h00 et revenons à la frontière de La Mesilla.
La plupart des boutiques sont encore fermées et la circulation est beaucoup plus fluide que lors de notre dernière tentative. Nous passons la douane mexicaine, les trois douanières en poste nous laissent passer sans faire le moindre geste. Je m'arrête devant les cocottes guatémaltèques, un homme asperge aussitôt notre véhicule tandis que nous retournons payer cette fameuse fumigation. Nous n'avons toujours pas de quetzal, un homme me propose le change. Alors que nous avions eu 30QZL pour 100 pesos lundi, celui-ci m'en offre 240 pour 600 aujourd'hui! C'est plus que le cours que nous avons sur notre appli, nous acceptons.
Nous quittons le balnéario de La Escondida un peu avant 9h00 et revenons à la frontière de La Mesilla.
La plupart des boutiques sont encore fermées et la circulation est beaucoup plus fluide que lors de notre dernière tentative. Nous passons la douane mexicaine, les trois douanières en poste nous laissent passer sans faire le moindre geste. Je m'arrête devant les cocottes guatémaltèques, un homme asperge aussitôt notre véhicule tandis que nous retournons payer cette fameuse fumigation. Nous n'avons toujours pas de quetzal, un homme me propose le change. Alors que nous avions eu 30QZL pour 100 pesos lundi, celui-ci m'en offre 240 pour 600 aujourd'hui! C'est plus que le cours que nous avons sur notre appli, nous acceptons.
Un gros orage s'est abattu sur nous cette nuit. Plusieurs éboulements se sont poduits et les engins de chantier sont déjà à l'oeuvre pour rétablir la circulation. Quelques kilomètres à la sortie de Cunen, c'est un virage qui a été emporté par le torrent...
Cette partie du pays a beaucoup souffert du passage en 2020 de l'ouragan Eta. Les maisons en bois ont disparu et tous les habitants sont occupés à la reconstruction en dur de leur habitation. Pour autant, ils ne semblent pas pressés et soignent les travaux de maçonnerie en ajoutant nombre de colonnes torsadées et d'arcades moulurées, toutes des fioritures qui retardent d'autant la mise à l'abri des familles...
Un gros orage s'est abattu sur nous cette nuit. Plusieurs éboulements se sont poduits et les engins de chantier sont déjà à l'oeuvre pour rétablir la circulation. Quelques kilomètres à la sortie de Cunen, c'est un virage qui a été emporté par le torrent...
Cette partie du pays a beaucoup souffert du passage en 2020 de l'ouragan Eta. Les maisons en bois ont disparu et tous les habitants sont occupés à la reconstruction en dur de leur habitation. Pour autant, ils ne semblent pas pressés et soignent les travaux de maçonnerie en ajoutant nombre de colonnes torsadées et d'arcades moulurées, toutes des fioritures qui retardent d'autant la mise à l'abri des familles...
Nous quittons le balnéario de La Escondida un peu avant 9h00 et revenons à la frontière de La Mesilla.
La plupart des boutiques sont encore fermées et la circulation est beaucoup plus fluide que lors de notre dernière tentative. Nous passons la douane mexicaine, les trois douanières en poste nous laissent passer sans faire le moindre geste. Je m'arrête devant les cocottes guatémaltèques, un homme asperge aussitôt notre véhicule tandis que nous retournons payer cette fameuse fumigation. Nous n'avons toujours pas de quetzal, un homme me propose le change. Alors que nous avions eu 30QZL pour 100 pesos lundi, celui-ci m'en offre 240 pour 600 aujourd'hui! C'est plus que le cours que nous avons sur notre appli, nous acceptons.
Un gros orage s'est abattu sur nous cette nuit. Plusieurs éboulements se sont poduits et les engins de chantier sont déjà à l'oeuvre pour rétablir la circulation. Quelques kilomètres à la sortie de Cunen, c'est un virage qui a été emporté par le torrent...
Cette partie du pays a beaucoup souffert du passage en 2020 de l'ouragan Eta. Les maisons en bois ont disparu et tous les habitants sont occupés à la reconstruction en dur de leur habitation. Pour autant, ils ne semblent pas pressés et soignent les travaux de maçonnerie en ajoutant nombre de colonnes torsadées et d'arcades moulurées, toutes des fioritures qui retardent d'autant la mise à l'abri des familles...
Après encore quelques rudes montées dans les roues des tuk-tuks, nous découvrons enfin la vallée du Chixoy, marquant la limite entre les départements du Quiché et de l'Alta Verapaz. Un petit péage de 10Qzl nous attend au moment de franchir la rivière, puis nous entamons la remontée sur l'autre versant de la vallée.
Mauvaise surprise, c'est une piste en terre de l'autre côté du pont. Notre vitesse moyenne baisse encore... Un petit groupe d'enfants nous immobilise une nouvelle fois en pleine montagne, l'un deux simulant même se coucher sous nos roues. Ils sont très, très jeunes, réclament de l'argent, à boire et à manger. Nous ne cédons pas, c'est dur, mais si nous acceptons aujourd'hui leur chantage, que feront-ils lorsqu'ils auront une machette à la main ?
Un gros orage s'est abattu sur nous cette nuit. Plusieurs éboulements se sont poduits et les engins de chantier sont déjà à l'oeuvre pour rétablir la circulation. Quelques kilomètres à la sortie de Cunen, c'est un virage qui a été emporté par le torrent...
Cette partie du pays a beaucoup souffert du passage en 2020 de l'ouragan Eta. Les maisons en bois ont disparu et tous les habitants sont occupés à la reconstruction en dur de leur habitation. Pour autant, ils ne semblent pas pressés et soignent les travaux de maçonnerie en ajoutant nombre de colonnes torsadées et d'arcades moulurées, toutes des fioritures qui retardent d'autant la mise à l'abri des familles...
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
Après encore quelques rudes montées dans les roues des tuk-tuks, nous découvrons enfin la vallée du Chixoy, marquant la limite entre les départements du Quiché et de l'Alta Verapaz. Un petit péage de 10Qzl nous attend au moment de franchir la rivière, puis nous entamons la remontée sur l'autre versant de la vallée.
Mauvaise surprise, c'est une piste en terre de l'autre côté du pont. Notre vitesse moyenne baisse encore... Un petit groupe d'enfants nous immobilise une nouvelle fois en pleine montagne, l'un deux simulant même se coucher sous nos roues. Ils sont très, très jeunes, réclament de l'argent, à boire et à manger. Nous ne cédons pas, c'est dur, mais si nous acceptons aujourd'hui leur chantage, que feront-ils lorsqu'ils auront une machette à la main ?
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.
L'environnement de notre première nuit au Guatemala ne fait pas rêver cependant nous y passons une nuit plutôt correcte. J'avais prévu de dormir dans un parc d'orchidées un peu avant Coban, c'était ambitieux et sans compter sur l'état des routes de cette région montagneuse. Ce matin Coban est encore à une centaine de kilomètres...
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.
Florès est la capitale du département du Peten. La partie ancienne de la ville se situe sur une île à une extrémité du lac Itza Peten, mais ce n'est qu'une toute petite partie de celui-ci qui s'offre à nous depuis Florès. Deux villes se sont développées de part et d'autre du pont qui relie l'île à la terre ferme, Santa Elena et San Benito. C'est près de la mairie de cette dernière et au pied du château d'eau, que nous venons de passer une nuit tranquille.
Florès est la capitale du département du Peten. La partie ancienne de la ville se situe sur une île à une extrémité du lac Itza Peten, mais ce n'est qu'une toute petite partie de celui-ci qui s'offre à nous depuis Florès. Deux villes se sont développées de part et d'autre du pont qui relie l'île à la terre ferme, Santa Elena et San Benito. C'est près de la mairie de cette dernière et au pied du château d'eau, que nous venons de passer une nuit tranquille.
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.
Florès est la capitale du département du Peten. La partie ancienne de la ville se situe sur une île à une extrémité du lac Itza Peten, mais ce n'est qu'une toute petite partie de celui-ci qui s'offre à nous depuis Florès. Deux villes se sont développées de part et d'autre du pont qui relie l'île à la terre ferme, Santa Elena et San Benito. C'est près de la mairie de cette dernière et au pied du château d'eau, que nous venons de passer une nuit tranquille.
Les petites rues empierrées bordées de maisons colorées ont beaucoup de charme mais nous en faisons rapidement le tour. Il fait très chaud et avant de découvrir la cuisine du chic restaurant Raices, nous profitons déjà avec grand plaisir d'aller nous mettre au frais sous son immense palapas construite sur pilotis au bord du lac.