- Nous avons trouvé à vidanger et faire nos pleins d'eau sur chacune des îles en consultant P4N. Les points ne sont pas nombreux mais les îles sont petites. Il existe aussi quelques aires de services. Pour l'eau potable, nous avons acheté des bouteilles de 8l vendues à moins d'1 euro dans les supermarchés.
- Nous avons vu peu de français, beaucoup d'espagnols et d'allemands.
- Fuerteventura nous a offert les plus beaux bivouacs nature. En revanche, l'île est très venteuse et nous étions souvent inquiets pour notre toit relevable. Inutilement parfois, car nous n'avons dû baisser le toit qu'une seule fois sur les 80 nuits passées sur place.
- Certains bivouacs sont au pied de falaises, les éboulements ne sont pas rares (effondrement d'une falaise sur des camping-cars à Valle Gran Rey sur La Gomera en novembre 2020)
La conduite...- Les routes sont excellentes. En revanche, elle sont souvent très étroites et très, très pentues, notamment sur La Gomera, La Palma et Gran Canaria.
- Les canariens ne s'embarrassent pas de virages ou de lacets. Même un accès à un Lidl peut être effrayant (Santa Cruz de la Palma)
- Il est fréquent de devoir monter et redescendre 1500m.
- Un fourgon (ou pick-up avec cellule) est le véhicule idéal pour visiter les iles.
Nous avons aimé...- Nos îles préférées, dans l'ordre Lanzarote, La Palma, Fuerteventura, La Gomera, Gran Cannaria et Tenerife.
- Une liberté presque totale en cette période covid (bar et restaurant ouverts).
- Le respect des mesures Covid sans stress inutile.
- La météo agréable, short et tee-shirt tous les jours.
- La gentillesse des habitants.
- Le coût de la vie.
- La ville de Santa Cruz de la Palma, le travail de Manrique.
Nous avons moins aimé...
- il est très facile de trouver, sur chaque île, des endroits totalement défigurés par des constructions hideuses pour accueillir le toursime de masse.